En dehors des cours, Effy était totalement épanouie.

Elle passait le plus clair de sont temps avec ses amis, quand elle ne travaillait pas. 

Ses amis? Trois filles, les mêmes depuis très longtemps, quand ce n'était pas elles, deux garçons, les garçons les plus cool du monde.

Ces garçons s'intérressaient pasa ces filles populaires, ils cherchaient des filles sympa, des vraies filles sympa. Leur citation préféré c'était "Peut être que tu devrais manger ton maquillage, ca te rendras peut être belle de l'interieur pétasse!". C'est pour ça qu'effy s'entendait si bien avec eux. Après sa séparation avec des autres filles, elle s'était acheté un skate board et elle était allée dans les rues avec, sans jamais en avoir fait, mais quand elle déscendait la rue a toutes vitesse, s'était le meilleur moment de sa vie. Elle avait rencontré ces deux là dans un skate parc, et ils lui avaient apris les base, depuis elle en faisait presque tout les jours. Ce moment magique quand elle montait sur sa planche! Elle allait en cours comme ça et en revenait comme ça. Vous auriez du voir sa chambre, avec tout ces skates! 

Un jour d'été, c'était le plus beau jour de sa vie, oui, elle le savait, elle en était sûre. Elle était avec ses potes, ses trois copines. Chacun armé d'un skate, ils se sont mis face a un péage, et ils ont skaté sur l'autauroute, ça, ça c'était la vraie vie.

Cette fille, personne ne lui parlait. Pourquoi? 

Arwen ne le savait pas. Parlons d'Arwen. 

C'était une nouvelle dans le collège, elle était arrivée dans le cours du mois de novembre de sa troisème. La bande de filles populaires l'avaient vite intégrée, parce qu'Arwen était belle, s'habillait bien, était gentille et sympathique. Du coup, elle n'avait pas eu le temps de sympatiser avec d'autre gens.

Oh? Pshyiquement, elle était grande, mince, de longs cheveux bruns et lisses tombaient dans son dos. Elle s'habillait bien, dans un style plutôt sage mais tout de même branché, un tee-shirt col claudine avec un short taille haute par exemple. Dans sa classe, il y avait 5 filles de sa "bande" et 3 garçons. Lily, Amélie, Capucine ... 

Un jour, Arwen demanda à Lily:

-Il lui arrive quoi à Effy? Pourquoi elle est comme ça?

-Tu veux dire pourquoi elle a les cheveux en dégradé blond, bleu et vert? 

-Non, pourquoi personne lui parle?

Lily parut gênée.

-Ele restait avec nous avant...

-Et?

-Elle a eu le malheur de dire ce qu'elle pensait vraiment. Depuis elle n'adresse plus la parole a personne et on ne lui parle plus non plus, c'est mieux comme ça.

-Donc elle a été exclue parce qu'elle a dit la véritée?

-Aussi parce qu'elle a commencé à changer. Tu sais, en sixième c'était la petite fille parfaite, elle n'était peut etre pas très belle et ne s'habillait pas très bien, elle ne parlait pas beaucoup. Elle restait avec nous parce que on a jamais trouvé dde truc pour la virer, et puis finalement, tout le monde l'aimait bien. L'année dernière elle s'est fait ces cheveux et a commencé a  vouloir s'habiller comme elle le voulait. Elle voulait plus s'habiller comme tout le monde alors elle a adopté ce look un peu rock. Je te dirais tout à l'heure un autre truc.

Le cours se termina et lily et Arwen décendirent avant les autres.

-Alors? Demanda Arwen.

-Les filles étaient jalouses. Elles l'a trouvaient trop belle, elle s'assumait trop comme elle était, et... Tu sais comment sont les filles populaires, elles ont peur de perdre leur place. Elles disent qu'elles ont bien maté Effy mai en réalité c'est elle qui a gagné, en vrai, elle nous a toutes manipulés, et elle savait exactement ce qu'elle faisait quand elle a annoncé leurs quatres véritées à toutes les filles.

-Et toi c'était quoi?

-1. Lily, ouvre les yeux, ces filles ne pensent pas a toi.

2. Réagis, fou leur des baffes! Tu te rapelles quand elles t'on engueulées parce que tu les avait aidé a un contrôle et que tu avait eu une meilleure note qu'elles! Elles sont revenues vers toi a celui d'après!

3. Tu m'a montré tes fringues préférées, portes les au lieu d'avoir peur de leurs réactions!

4. De toutes façon je te connais, toi aussi tu me laisseras tomber.

-Et tu l'a fait...

-Oui, parce que dans notre monde on a peur de se retrouver tout seul! C'est de ça dont j'ai peur! Effy est largement plus forte que nous toutes! Elle n'a pas eu peur de ça et c'est ça qui effrais tant les filles!

Les larmes coulèrent sur les joues de Lily et elle reprit avec une voie trembalante.

-Elle nous connaissait toutes par coeur, elle avait raison sur les quatre point qu'elle a annoncé pour chacun, même pour moi. 

Arwen la pris dans ses bras.

-Et si tu me montrait ces vêtements?

Le soir, elles dormirent chez Lily. Le lendemain, Lily mit un jean a paillettes taille haute, un tee-shirt a bretelles blanc avec un long collier en agrent et des talons, elle se boucla les cheveux et mis sa dose de maquillage. Elles passèrent chez Arwen et elle mis sa salopette en jean, sa chemise blanche avec des accessoirs. Elles allèrent au collège. Là, elles se sentaient bien, même fière. En arrivant, tout le monde les regardait, elles étaient... Juste elles-mêmes. 

-Effy, on peut te parler?

L'interessé leva les yeux, souris, tira une dernière foie sur la clope qu'elle tenait entre deux doigts et l'écrasa.

-Vous savez, je me suis dit que quand quelqu'un viendrais vers moi, j'arrêterais de fumer. Dommage, j'aimais bien me goudronner les poumons, mais c'est mieux comme ça je supose, dit elle la tête un peu penchée sur les coté, un léger sourire aux lèvres, ses cheveux étrangement colorés pendant sur son épaule.

Aujourd'hui, ma soeur est allée manifester!

Le lycée Sophie Germain s'est super investit!

Je trouve ça juste génial que les lycéens fassent ça, pour l'égalité, sans partit politique, pour défendre une bonne cause, si j'était au lycée, pour sûr je l'aurais fait la manif! J'ai vu pleins de vidéo, des amies a ma soeur tenaient la banderole Sophie Germain, y'a des photos géniales!

Je soutient!

Et je veux qu'il n'y ai pas méprise, les lycéens n'ont rien a voir avec les casseur, ils veulent pas qu'il y ai de violence, ils veulent juste manifester!

La pancarte de Sophie Germain:

Vous avez peut être remarqué que je n'écris pas trop le jeudi (enfin, ça m'étonnerais que vous l'ayez vu), c'est pour la simple et bonne raison que j'ai pas le droit de faire de l'ordi le jeudi, mais j'ai envie d'en faire, alors tant pis pour les interdictions.

Aujourd'hui, vous en avez sûrement entendu parler si vous habitez a Paris, il y a eu blocus a plusieurs lycée. Dans mon entourage, j'ai pu voir des types de réactions différent:

-Ma soeur, pas du tout a fond, parce que le blocus est contre les expulsions des sans papiers, et que y'a même pas eu d'expulsions dans son lycée. Ca la fait juste chier les manif et blocus.

-La personne qui veux se la jouer du collège, qui a un grand frère ou une grande soeur qui fait le blocus. Très chiant.

-Enfin ma meilleure amie, qui est dans un collège Lycée, qui à été enfermé a l'intérieur, qui a juste trouvé ça génial et qui a gueulé avec les lycéens quand elle a pu sortir.

Je ne sais pas trop où je me caserais, mais certainement pas dans le deuxième cas. 

Je crois que je voulais parler d'autres choses, mais je ne m'en souvient plus. En fait, je vis ma vie en écriture, mon cerveau me parle en narration, je vis mes anecdotes en VDM et je pense mes réfléxions en articles de blog, mais généralement je ne me souviens pas de ce à quoi j'ai pensé aujourd'hui. Pourtant j'avais pleins de sujets. Tant pis, si ça me reviens, je vous le ferais savoir. 

Pourquoi? Pourquoi pas? Peut-être? Sûrement? 

Dans mon l'histoire que j'écris, mon perso principal se pose beaucoup de questions, et en fait, je crois que ça ma fait découvrir que je me pose moi-même beaucoup de questions. 

Bon, je vais vous écrire un petit rêve que j'ai fait il y a, je dirait 6 mois. 

Des gens me courent après. Sont-ils bien humain? Je ne le saurais jamais, je coure dans les couloirs aux murs de pierres, éclairés par la lune que l'on voit derrière les grandes fenêtres de verre. Je monte des marches et arrive devant une porte de bois, auquel un heurtoir en forme d'aigle est accroché. Il n'y a ni serrure, ni poignée, je frappe à la porte. Le bec  de l'aigle s'ouvre. J'y place mon doigt et le bec se referme. Mes poursuivants montent. Le bec se rouvre en même temps que la porte, mon doigt est ensanglanté. je rentre précipitamment et ferme la porte. Je dois monter quelques marches et découvre une salle circulaire, dont les murs sont recouverts de grandes fenêtres. Il y a de la moquette, des rideaux bleus sombres. Je peux voir les étoiles de là. Le plafond est en forme de dôme où est peint une carte du ciel. Au milieu de la pièce il y a une table ronde. Je m'approche et m'assied. Sur la table il y a un parchemin et une plume. Je peux écrire une lettre. Non, pas tout à fait, je n'ai pas d'encre. Je regarde mon doigt "Est-ce cela le prix a payer pour pourvoir sortir d'ici?". Avec la pointe le la plume, je m'ouvre un peu le bras et écrit en lettres de sang "Je suis coincée dans la septième tour, ils sont à la porte!".

Voilà!